En 1686 il devient précepteur tout en continuant ses études de droit.

  A partir de 1699 il occupe la chaire de rhétorique de l’université de Naples (il ne l’abandonnera qu’en 1739).

  En 1708 il prononce de De Nostri Temporis Studiorum Ratione (discours de rentrée à l’Université, publié l’année suivante).

  En 1710 il publie le Liber Metaphysicus et le De Antiquissima Italorum Sapientia.

Il s’attelle ensuite à une Vie d’A. Caraffa (1716) et à divers ouvrages de droit (le Droit Universel, premier tome en 1720, second tome en 1721).

  En 1723 il échoue à la chaire de droit de Naples, commence à rédiger son autobiographie.

  En 1724 il entame la rédaction de la première Scienza Nuova, qu’il publie à ses frais l’année suivante.

Son autobiographie paraît en 1728 ; et il se défend l’année suivante contre les compte-rendus négatifs de la Scienza Nuova (alors qu’il souffre du scorbut). Une première version corrigée de la Scienza paraît en 1730, mais Vico ne cesse de la revoir, de même que son autobiographie. En 1732 il publie le De Mente Heroica.

  En 1735 il devient historiographe de Charles de Bourbon, auquel il dédicace en 1736 le De Aequilibrio Corporis Animantis. Cette même année la dernière Scienza Nuova est achevée, mais elle ne sera éditée qu’en juillet 1744 (six mois après sa mort).